La schizophrénie est classée parmi les maladies mentales et est donc traitée au niveau du cerveau. Et si nous faisions fausse route ?

Épisode 1 d’une série essentielle.

Liste des études citées dans cette vidéo :

• De nouvelles preuves montrent que le microbiote intestinal joue un rôle important dans le maintien de concentrations adéquates de dopamine via une communication complexe et bidirectionnelle connue sous le nom d’axe microbiote-intestin-cerveau : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8962300/

• Le stress et la perméabilité de la barrière intestinale : https://www.frontiersin.org/journals/microbiology/articles/10.3389/fmicb.2019.03067/full

• Des études post-mortem ont montré des concentrations élevées de dopamine et de HVA dans diverses régions cérébrales sous-corticales et des densités de récepteurs de dopamine supérieures à la normale dans le cerveau des patients schizophrènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1681750/#:~:text=Post%2Dmortem%20studies%20have%20shown,the%20brains%20of%20schizophrenic%20patients

• De nouvelles études ont montré que les personnes atteintes de schizophrénie présentent des différences dans leur biome intestinal par rapport aux personnes ne souffrant pas de trouble mental : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6925402/

• Le jeûne et la schizophrénie, les travaux du Dr Yuri Nikolaiev par Allan Cott MD : https://isom.ca/wp-content/uploads/2020/01/JOM_1974_03_4_12_Controlled_Fasting_Treatment_for_Schizophrenia.pdf